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Pour sortir les polars québécois du noir

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On dévore des polars. Alors, ce savoureux dossier de Michel Bélair dans les pages du Devoir du 12 janvier dernier (« Polars d’ici ») nous nourrira de lectures bien longtemps ! Il faut dire qu’on s’est gavé de polars scandinaves (voir le dossier du Economist de cette semaine à ce sujet). Ça serait bien de lire des histoires d’ici…

Selon Bélair,

Aujourd’hui, l’incontournable Jean-Jacques Pelletier et ses thrillers apocalyptiques occupent de plus en plus de place dans les rayons des librairies, aux côtés de Chrystine Brouillette, de François Barcelo et de Patrick Sénécal – celui-là même que plusieurs décrivent comme le Stephen King d’ici… Le polar québécois, ce sont eux, d’abord.

Pour aller plus loin, Bélair présente une série d’auteurs et de titres d’ici. D’ailleurs, en voici le sommaire :

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Finalement, Bélair mentionne un feuilleton de la fin des années 1940 qui durera presque 20 ans :

Rappelons que tout a commencé ici dès la fin de la Seconde Guerre mondiale avec l’agent IXE-13. Peu de gens savent que « les aventures de l’as des espions canadiens » s’échelonnent sur près de 1000 petits fascicules de 32 pages écrits entre 1947 et 1966 par Pierre Saurel, le pseudonyme du père Ovide des Belles histoires des pays d’en haut. Pierre Daignault, de son vrai nom, a aussi pondu des centaines d’épisodes des Aventures policières d’Albert Brien, détective national des Canadiens français. Mais nous sommes déjà bien loin de tout cela.

Il semble qu’un passionné soit en train de numériser ces feuillets, voir le blogue de l’agent IXE-13 pour retrouver ledit intrépide espion national.



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